Substances, matériaux, mélanges et produits - derniers contenus mis en ligne

Le désenfumage des locaux est rendu obligatoire par le code du travail (art R.235.4.8). Il permet d’éliminer les fumées et les gaz chauds et toxiques qui se dégagent de l’incendie.
L’évacuation des produits de combustion permet :
− D’améliorer la visibilité
− De réduire la concentration en gaz toxiques (CO, CO2, HCN…)
− De réduire la température et le flux de chaleur
− Conserver un taux d’oxygène acceptable
Le système naturel est plus particulièrement adapté pour les locaux sur un seul niveau, tandis que le système mécanique est préconisé pour les bâtiments à plusieurs niveaux.

Fiche de Classification des dangers physiques selon le SGHRèglement CLP
Le règlement CLP introduit une classe de danger relative aux substances et mélanges « corrosifs pour les métaux » qui est inexistante dans le système de classification actuel. Une seule catégorie est introduite.
Les substances et mélanges considérées comme corrosifs pour la peau dans l’annexe I de l’arrêté du 20 avril 1994 modifié sont susceptibles d’être également corrosifs pour les métaux.

Sécurité des procédés mettant en œuvre des pulvérulents combustibles

Fiche de Classification des dangers physiques selon le SGHRèglement CLP

Le règlement CLP introduit une classe de danger relative aux substances et mélanges « auto-échauffants » inexistante dans le système de classification actuel.

Il permet de les différencier en fonction du niveau de danger, en introduisant deux catégories.

Les substances et mélanges considérées comme auto-échauffantes dans le CLP pouvaient relever de différentes catégories de dangers physiques dans l’annexe I de l’arrêté du 20 avril 1994 modifié (explosibles ou inflammables) soit ne pas être classées.

Fiche de Classification des dangers physiques selon le SGHRèglement CLP

Le règlement CLP introduit une classe de danger relative aux substances et mélanges « auto-réactifs » inexistante dans le système de classification préexistant. Il permet de les différencier en fonction du niveau de danger, en introduisant 7 catégories de dangers allant du type A à G.

Le changement de méthode va dans le sens d’une classification moins sévère avec le règlement CLP et d’une perte de l’information (de l’explosibilité) pour l’utilisateur.

Au travers du Portail Substances Chimiques, l'INERIS diffuse l'expertise acquise sur les substances chimiques au cours de ses travaux d'études et recherches. Le Portail Substances Chimiques de l'INERIS fournit des grandeurs caractéristiques sur les substances chimiques en particulier dans les domaines suivants: Écotoxicologie, Toxicologie, Données Technico-économiques.

L'accès à ces informations est libre de droit et s'effectue au travers d'un moteur de recherche sur le nom de la substance ou son numéro CAS.

Une base de données a été mise au point par l'INERIS, qui vise la valorisation des informations concernant les propriétés physico-chimiques et écotoxicologiques des substances chimiques. En effet, il est important de diffuser à un large public des données sur les substances validées par différentes instances internationales.
Cette base propose ainsi :
• un « mélange » de toutes les sources de données disponibles sur les substances chimiques (dans le domaine de l’évaluation des risques). Il n’est ainsi plus nécessaire de naviguer sur différents sites pour extraire des informations des documents disponibles,
• la compilation de données, si possible validées, est présentée sous une forme condensée,
• la possibilité d'obtenir des informations sur une liste de substances (e. g. log Kow et PNEC pour les substances inscrites à l'annexe X de la directive cadre sur l'eau),
• La compilation, dans une base, de données physico-chimiques et écotoxicologiques validées permettra, via des analyses sur un grand nombre de substances, de mieux appréhender les liens possibles entre les paramètres (e. g. développement de QSAR, "validation" de la théorie du coefficient de partage pour les sédiments).

La base de données est désormais intégrée au Portail Substances Chimiques de l'INERIS.

La base de données mise au point par l'INERIS vise à la valorisation des informations concernant les propriétés physico-chimiques et écotoxicologiques des substances chimiques. En effet, il est important de diffuser à un large public des données sur les
substances validées par différentes instances internationales. Cette base propose ainsi :
- Le regroupement d’un grand nombre de sources de données disponibles sur les substances chimiques (dans le domaine de l’évaluation des risques). Il n’est ainsi plus nécessaire de naviguer sur différents sites pour extraire des informations
des documents disponibles,
- la compilation de données, si possible validées, est présentée sous une forme condensée : création de fiches synthétiques, pour chaque substance,
- la possibilité d'obtenir des informations sur une liste précise de substances utilisée, par exemple, dans un cadre réglementaire (e. g. log Kow et PNEC pour les substances inscrites à l'annexe X de la Directive Cadre sur l'Eau).

La base de données est désormais intégrée au Portail Substances Chimiques de l'INERIS

CAMEO Chemicals est une base de données contenant des informations destinés aux interventions d'urgence pour plusieurs milliers de substances chimiques. On y trouve en particulier des informations sur les propriétés physico-chimiques, les dangers pour la santé et pour l'environnement, des recommandations sur l'intervention en cas d'accident, etc.
En outre, le module MyChemicals permet d'idientifier des dangers liés à la réactivité des substances chimiques en mélange.
CAMEO Chemicals est disponible en ligne ou en téléchargement.

Ce document traite de la prévention des accidents « eau / métal en fusion » dans le domaine de la métallurgie, à partir du retour d’expérience relatif à ce sujet, .
En effet, des projections explosives, parfois très violentes, peuvent se produire lorsque du métal liquide vient au contact de l’eau de manière intempestive. Ce phénomène, considéré comme peu fréquent aujourd’hui, a pourtant eu lieu une trentaine de fois au cours de ces vingt-cinq dernières années.
Après une brève présentation des installations dans lesquelles peut se produire ce phénomène, nous détaillons la phénoménologie et de quelle manière l’énergie libérée peut être déterminée, puis nous présentons et analysons des guides de bonnes pratiques en matière de prévention de ce type d’accident qui ont été publiés en France et aussi à l’étranger. Enfin, une comparaison est effectuée entre les
recommandations préconisées par ces guides et l’organisation de certaines entreprises visitées pour l'occasion.