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Les nouveaux systèmes de stockage et de gestion de l’énergie électrique (batteries au Lithium, supercapacités…) et leurs interfaces avec le train propulseur du côté véhicule et les bornes de charge du côté réseau constituent les technologies clés, en pleine mutation, dont la maturité conditionne le déploiement de la filière électrique.
Les enjeux de sécurité déjà mis en évidence lors de la commercialisation des premières piles au lithium et batteries au lithium rechargeables destinés aux équipements de grande consommation (ordinateurs portables, téléphonie mobile, lecteurs de DVD -voir le rapport sur le REX-) n’ont fait que se renforcer avec l’augmentation des densités énergétiques massiques et volumiques des batteries.
Ainsi, l'INERIS a constitué une synthèse présentant quelques données de base sur ces technologies, comprenant un bref aperçu historique du développement, ainsi que quelques éléments contextuels sur les développements en cours.

P.I.V.E.R.T., Picardie Innovations Végétales, Enseignements et Recherches Technologiques, est un centre de recherche, d’innovation, d’expérimentation et de formation dans la chimie du végétal à base de biomasse oléagineuse (colza, tournesol, etc.).

L'Association Française pour l'Hydrogène et les Piles à Combustible (AFHYPAC) a pour objet de promouvoir les technologies de l'hydrogène énergie et des piles à combustible. Elle est chargée en particulier de l'animation cette filière industrielle en France.
L'association présente sur son site web de la documentation sur l'hydrogène en tant que vecteur d'énergie.

Le déploiement à grande échelle de la filière « véhicule électrique » implique pour les transports individuels et collectifs, des bouleversements profonds au-delà de l’électrification des véhicules proprement dite, aussi bien des habitudes de conduite, que des différentes infrastructures à mettre en place (stations de charges, installations de maintenance et de réparation…) ou de filières de recyclage, encore quasiment inexistantes pour les nouvelles technologies envisagées dans les véhicules.
Ces modifications vont s’accompagner de l’émergence de nouveaux risques qu’il est primordial d’identifier rapidement afin de pouvoir les évaluer et proposer les principales mesures à mettre en place pour pouvoir les prévenir.
La présente étude a pour principal objectif de :

  • réaliser une identification et une analyse préliminaire des risques de cette filière technologique (pur électrique et hybride) sur l’ensemble de son cycle de vie,
  • envisager des ébauches de solutions pour maîtriser les risques les plus critiques ceci dès la mise sur le marché des premiers véhicules.
  • Le présent rapport vise à présenter l’état des lieux, à la date de sa rédaction, des connaissances et des pratiques industrielles dans le domaine de la production de l’hydrogène.

    Dans le cadre de la mission d’appui aux pouvoirs publics de l’INERIS (programme 181), cette synthèse met en évidence les axes de sécurité à étudier ainsi que les procédés qui demanderont probablement une attention particulière dans l’avenir.

    L’INERIS a réalisé des calculs de modélisation des distances d’effets des scénarios majorants pour les principaux cas types rencontrés sur des sites de méthanisation de taille agricole et industrielle.

      Les scénarios accidentels concernent sur trois équipements principaux mettant en œuvre du biogaz d’une unité de méthanisation : un digesteur (méthaniseur), un gazomètre (stockage de biogaz) et des canalisations de transfert de biogaz en aérien et dans des locaux.
        Ce rapport propose des distances d’effets (explosion, incendie, dispersion toxique) qui serviront d’aide à la décision pour de nombreux industriels ou les pouvoirs publics, d’où l’importance des conditions d’apparition des types de scénarios accidentels retenus et des hypothèses prises en compte dans la modélisation.

    Depuis début 2009, un programme d’appui de l'INERIS aux Pouvoirs Publics vise à évaluer les risques posés par la valorisation de biogaz issus de la digestion anaérobie de différents déchets. L’un des volets de ce programme recouvre les risques sanitaires liés à la valorisation de biogaz issus de boues de stations d’épuration, qui sont les premiers sites producteurs de biogaz en France, devant les installations de stockage de déchets non dangereux, et qui n’avaient pu être pris en compte lors de l’étude pilotée par l’AFSSET en 2008, sur les risques sanitaires liés à l’injection de biogaz dans un réseau de gaz naturel, faute de temps.
    En 2009, l'INERIS a sollicité les principaux acteurs intervenant dans le secteur de l’épuration des eaux afin de recueillir des données de composition détaillée de biogaz issus de la méthanisation des boues de traitement. Tous les acteurs sollicités ont répondu favorablement à notre demande et nous ont fourni les données disponibles.
    Cependant, il n’y a pas de données de concentrations pour un certain nombre de composés figurant dans la liste de l’AFSSET, pour lesquels il y avait des valeurs sur les biogaz issus d’installations de stockage de déchets. Il s’agit en particulier des aldéhydes, des HAP, des métaux. Il n’est pas possible de savoir si ce manque de données vient du fait que ces composés n’ont pas été retrouvés lors de l’analyse (ce qui est possible compte-tenu des matières méthanisées), ou s’ils n’ont pas été recherchés. Cette étude montre qu’il est possible de recueillir des données de composition fine de biogaz brut issu de boues de STEP non publiées.

    Le présent rapport vise à présenter l’état des lieux, à la date de sa rédaction, de la réglementation française et de la normalisation européenne dans le domaine de l’utilisation de l’hydrogène comme vecteur d’énergie.
    Dans le cadre de la mission d’appui aux pouvoirs publics de l’INERIS, cette synthèse met en évidence les avancées de la réglementation mais aussi les points durs pour l’établissement d’une filière hydrogène-énergie en France.