Canalisation de transport


Dans le contexte actuel de la transition énergétique, la production d’hydrogène est une des voies privilégiées pour stocker et réutiliser les surplus d’électricité produits par les énergies renouvelables (éoliennes, panneaux photovoltaïques, centrales hydrauliques, …). L’une des voies de valorisation de l’hydrogène ainsi produit est son injection dans les réseaux de gaz naturel, dont le développement est envisagé dans le Plan de Déploiement de l’Hydrogène pour la transition énergétique présenté le 1er juin 2018 par le Ministre de la Transition Ecologique et Solidaire.
Le présent rapport dresse un état des lieux général des enjeux de sécurité liés à l’injection d’hydrogène dans le réseau de gaz naturel puis se focalise sur l’impact potentiel de l’injection d’hydrogène sur la maîtrise des risques accidentels associés spécifiquement aux canalisations de transport et de distribution de gaz naturel.
Cet état des lieux est basé sur les connaissances internes de l’INERIS ainsi que sur les documents et les résultats publiés fin 2018 en lien avec les enjeux de sécurité liés à l’injection d’hydrogène dans les réseaux de gaz naturel, dans les domaines de la réglementation, de la recherche et de la normalisation.

Pour attaquer efficacement un incendie, il faut disposer de l’agent extincteur le plus approprié à la nature du feu.

Les agents extincteurs couramment utilisés sont les suivants :
- L'eau,
- L’eau et les additifs,
- Les poudres,
- Les gaz inertes,
- Les halons.

Il existe plusieurs moyens d'extinction fixe , parmi lesquels :
- Les extincteurs,
- Les robinets d'incendie armés (RIA),
- Les bouches et poteaux d'incendie.

Cahier technique n°15

    Ce guide est cité dans l’arrêté du 5 mars 2014 définissant les modalités d’application du chapitre V du titre V du livre V du code de l’environnement et portant règlement de la sécurité des canalisations de transport de gaz naturel ou assimilé, d’hydrocarbures et de produits chimiques.

Ce guide est cité dans l’arrêté du 5 mars 2014 définissant les modalités d’application du chapitre V du titre V du livre V du code de l’environnement et portant règlement de la sécurité des canalisations de transport de gaz naturel ou assimilé, d’hydrocarbures et de produits chimiques.

Ces guides sont cités dans l’arrêté du 5 mars 2014 définissant les modalités d’application du chapitre V du titre V du livre V du code de l’environnement et portant règlement de la sécurité des canalisations de transport de gaz naturel ou assimilé, d’hydrocarbures et de produits chimiques ("arrêté multifluide").
Les guides suivants sont en téléchargement gratuit sur le site du GESIP:

  • Guide 2008.01 (édition de janvier 2014),
  • Guide 2008.02 (édition de janvier 2014),
  • Guide 2007.04 (édition de janvier 2014),
  • Guide 2007.05 (édition de janvier 2014)
  • Les autres guides professionnels édités par le GESIP et cités dans "l'arrêté multifluide" sont proposés à titre payant dans la catégorie "PIPELINES" du site du GESIP.

    La corrosion est le phénomène de dégradation d'un substrat métallique, sous l’action du milieu ambiant. Elle correspond au retour de la matière à son état le plus stable. Dans le cas du fer, par exemple, la forme stable dans la nature n’est pas le métal mais l’oxyde, c’est pourquoi une pièce en acier exposée sans protection à une atmosphère humide tend à se transformer en rouille (oxyde de fer hydratés).
    Les phénomènes de corrosion sont généralement classés en deux grandes catégories :
    - La corrosion électrochimique (ou corrosion humide)
    - La corrosion à haute température (ou corrosion sèche)
    Ce document n’abordera que la corrosion électrochimique pour laquelle la protection cathodique peut être efficace et ne concerne que les ouvrages enterrés ou immergés. Cette catégorie représente par ailleurs la grande majorité des problèmes de corrosion rencontrés car liée à la présence de l’eau au contact des métaux. C’est le cas en particulier des environnements naturels, tels que les eaux douces, l'eau de mer ou les sols. C’est aussi le cas de la plupart des milieux liquides de l’industrie, ainsi que des gaz conduisant à des condensations liquides contenant de l’eau (seulement si l’eau est acide ou contient de l’oxygène dissous).

    Une soupape est un organe de sécurité : sa sollicitation doit être exceptionnelle. Sa position normale est la position fermée. Une soupape est conçue pour évacuer un débit gazeux et/ou liquide lorsque la pression du produit est supérieure à la pression de tarage de la soupape. La soupape commence à s’ouvrir à la pression de tarage de la soupape. Lorsque la pression interne redescend en dessous d’un seuil de pression inférieur à la pression de tarage, la soupape se referme.
    L’ouverture de la soupape n’intervient généralement qu’après l’action d’autres dispositifs de limitation de pression (mise en sécurité par pressostat de pression haute, mise en sécurité par détection de niveau très haut dans le cas d’un sur-remplissage…).