Guides INERIS


L’INERIS développe des guides destinés à offrir un accompagnement pour la quantification probabiliste des phénomènes dangereux ou accidents majeurs dans le cadre des études de dangers de diverses installations. Ce guide concerne les dépôts de GPL.
Après une première partie présentant le champ d’application du guide, les types de données recensées et le mode d’emploi du guide, la deuxième partie présente les données d’entrée relatives à la quantification des risques au sein des dépôts de GPL et les met en cohérence avec des nœuds papillon génériques. Différentes parties d’un dépôt sont étudiées (réservoirs, tuyauteries, pompes et compresseurs, postes de transfert, bouteilles). Le guide présente des informations sur les données de fréquences d’occurrence, la répartition des causes d’accidents et les barrières de sécurité
Ces informations ont vocation à être comparées avec celles, plus complètes et spécifiques, déterminées lors de l’analyse des risques de l’installation concernée.
Elles sont destinées à alimenter la réflexion du groupe de travail afin de porter un regard critique sur la quantification des scénarios accidentels en probabilité.

L’INERIS développe des guides destinés à offrir un accompagnement pour la quantification probabiliste des phénomènes dangereux ou accidents majeurs dans le cadre des études de dangers de diverses installations. Ce guide concerne les installations de stockages d’ammoniac.
Après une première partie présentant le champ d’application du guide, les types de données recensées et le mode d’emploi du guide, la deuxième partie présente les données d’entrée relatives à la quantification des risques au sein des installations de stockages d’ammoniac et les met en cohérence avec des nœuds papillon génériques. Différentes parties d’une installation sont étudiées (réservoirs, tuyauteries, pompes et compresseurs, postes de transfert). Le guide présente des informations sur les données de fréquences d’occurrence, la répartition des causes d’accidents et les barrières de sécurité
Ces informations ont vocation à être comparées avec celles, plus complètes et spécifiques, déterminées lors de l’analyse des risques de l’installation concernée.
Elles sont destinées à alimenter la réflexion du groupe de travail afin de porter un regard critique sur la quantification des scénarios accidentels en probabilité.

Ce guide propose une démarche d’inspection des Systèmes de Gestion de la Sécurité en référence aux nouveaux textes réglementaires parus depuis 2001 dans le Code de l’Environnement.

L’objectif de ce mémento technique est de donner à l’enquêteur ou l’analyste des éléments de référence (ou éléments de bonnes pratiques sans visée prescriptive) pour les 4 situations ou activités suivantes :

  • analyse du rapport d’analyse d’accident de l’exploitant,
  • établissement d’un bilan ou rapport d’enquête après accident,
  • sollicitation d’un expert, d’un laboratoire d’analyse,
  • participation à une enquête technique, administrative, ou judiciaire.
  • Les éléments de référence figurant dans ce document couvrent tout un ensemble d’investigations dont les champs et degré d’approfondissement dépendront essentiellement des enjeux et des conséquences liés à l’accident. Ce mémento technique vise ainsi à décrire des éléments clés des investigations associés à des principes d’action, d’analyse, d’analyse critique et des éléments pratiques pouvant servir de support à aux 4 activités cités ci-avant.
    Le mémento technique couvre uniquement les champs techniques de ces activités ou situations. Sont notamment exclues du champ les décisions administratives et la gestion des opérations de secours.

    Ce rapport présente les approches courantes d’estimation de la probabilité rencontrées dans l’évaluation des risques industriels ainsi que leurs limites. Les approches qualitatives, semi-quantitatives sont abordées et l’approche quantitative est développée. Les différentes sources de données susceptibles d’être employées sont également présentées au regard de l’expérience de l’INERIS dans ce domaine. L’utilisation des données génériques est possible pour des installations à faibles enjeux mais se révèle source d’incertitudes importantes. Ainsi, l’INERIS tend à valoriser la réalisation d’une analyse de risques spécifiques, prenant en compte le retour d’expérience des industriels et l’évaluation des performances des barrières de sécurité en place.

    Ce document, Ω 25, introduit les règles de calcul permettant d’agréger les données de fréquence / probabilité le long de la séquence accidentelle selon une méthode semi-quantitative, et ce afin d’estimer la classe de probabilité d’occurrence annuelle des accidents majeurs. Les approches semi-quantitatives sans historique (couramment utilisées dans les études de dangers) et avec historique (prenant en compte la suite d’événements menant à la porte étudiée) sont détaillées. Le traitement semi-quantitatif, bien que permettant de disposer de formules simples pour les différentes portes rencontrées dans le nœud papillon, peut conduire à une sous-estimation du risque et introduit des incertitudes qui ne doivent pas être négligées. Ce rapport démontre que l’approche avec historique est plus précise que les formules simplifiées de l’approche sans historique. Il précise également les domaines de validité des formules présentées.

    Ce guide de l’ingénierie des Facteurs Organisationnels et Humains (FOH) a pour objectif de proposer aux acteurs de la sécurité industrielle des repères pour une approche plus structurée des FOH dans l’industrie. Il permet de mieux se représenter le champ des FOH (premier volet du guide) et, grâce aux outils qu’il propose (second volet), aide à définir des modalités d’intégration des FOH dans la politique sécurité de l’entreprise. En particulier, il précise ce que l’on entend par démarche FOH, liste les démarches FOH les plus courantes, les cartographies de manière simple, et fournit des fiches descriptives (annexe A). Il présente également une matrice d’analyse des capacités d’ingénierie FOH permettant de dresser un bilan de l’activité FOH passée, et de structurer un plan d’action d’ingénierie pour l’avenir.

    Ce rapport présente une synthèse de l’état des connaissances sur le phénomène d’explosion confinée.
    Il constitue un complément du rapport Omega 32-UVCE (Les explosions non confinées de gaz et de vapeurs sur les explosions non confinées) sur les explosions non confinées, il est focalisé sur les explosions de gaz et de vapeurs. Les spécificités des explosions confinées de poussières et de mélanges hybrides y sont abordées de manière marginale.
    Ce document s’articule autour de 3 chapitres, dont les objectifs respectifs sont de présenter :

    • certains accidents ayant conduit à des dégâts considérables et d’en extraire des enseignements quant au déroulement d’une explosion confinée ;
    • l’ensemble des conditions nécessaires à l’occurrence d’une explosion confinée et les principaux paramètres influençant la propagation de la flamme et les effets de l’explosion sur son environnement ;
    • une synthèse des principales méthodes disponibles pour estimer les effets de surpression engendrés par une explosion confinée et leurs limites.

    Le présent rapport Omega-UVCE fait suite à l’analyse des grands accidents tels que Buncefield, Flixborough, Ufa, Port Hudson qui ont montré qu’il n’y a pas de lien direct entre l’inventaire des fuites (volume inflammable et taille du nuage inflammable) et la sévérité de l’accident. L’étude spécifique de l’influence des instabilités de combustion sur la propagation de la flamme a permis de mettre en place un jeu de lois analytiques permettant de quantifier l’accroissement de vitesse induit par une perturbation que rencontre la flamme sur son parcours. Ce modèle est appelé modèle de Taylor généralisé. L’application numérique de ce modèle permet de proposer une amélioration de l’application de la méthode multi-énergie aux situations industrielles notamment en ce qui concerne la détermination de l’indice de sévérité de l’explosion. Dans ce rapport, 2 situations d’accident industriel sont présentées : - L’explosion de nuage dérivant suite à une évaporation de nappe d’hydrocarbures. Il apparaît, dans l’exemple étudié, que la phase de propagation isotrope de flamme produit des effets de pression de l’ordre de 300 mbar alors que la propagation azimutale de flamme produit une surpression de l’ordre de 40 mbar. - Un UVCE suite à une fuite de gaz à haute pression. Lors de l’explosion d’un jet gazeux turbulent, il est possible de déterminer le niveau de surpression atteint dans le nuage en fonction d’une donnée caractéristique de l’écoulement.

    Le présent guide s’adresse aux managers industriels en charge de la sécurité de systèmes présentant des risques majeurs. Il s’ancre dans une optique favorable à une distinction claire des outils d’évaluation de performances associées aux risques au poste de travail de ceux associés aux risques majeurs. Ce faisant, la démarche de réappropriation que nous suggérons se base dans un premier temps sur un éclairage élargi du rôle de l’évaluation des performances en gestion des risques majeurs. Puis, plus finement, nous nous intéresserons à contextualiser le rôle des indicateurs parmi une large gamme d’outils d’évaluation de performance ayant différentes forces et faiblesses.
    Dans un second temps, la méthode SIPS (Systèmes d’Indicateurs de Performance Sécurité) est proposée avec l’objectif de structurer la manière dont les gestionnaires de la sécurité peuvent construire et sélectionner les indicateurs les plus aptes à servir leurs modèles et représentations de ce qu’est la sécurité.