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Détermination des grandeurs caractéristiques du terme source nécessaires à l’utilisation d’un modèle de dispersion atmosphérique des rejets accidentels

Le rapport Omega 2 présente une synthèse de l’état des connaissances sur le phénomène de feux industriels.
La version de 2014 est une mise à jour de celle de 2002, qui la complète notamment concernant les feux d'entrepôts (méthode FLUMILOG).

    L’objet de ce référentiel est de présenter :

  • Dans la partie commune, les généralités communes aux feux de liquides et de solides, des modes de transferts de chaleur d’un incendie avant de détailler le cas du rayonnement thermique,
  • Dans la partie A relative aux feux de liquides : les différentes corrélations permettant de caractériser la flamme d’un incendie de liquide (feu de nappe) et les grands principes de 2 outils de calculs développés par l’INERIS : FNAP et celui annexé à la circulaire du 31/01/07 (abrogée par la circulaire du 10 mai 2010) relative aux études de dangers des dépôts d’hydrocarbures,
  • Dans la partie B relative aux feux de solides : les principes retenus dans la méthode issue du projet FLUMILOG qui permet de calculer les distances d’effet associées à l’incendie d’entrepôts comportant une ou plusieurs cellules de stockage, de prendre en compte des produits divers dans leurs composition, leurs modes de stockages et enfin les caractéristiques de la cellule (structure, parois et toiture).
  • Les trois parties sont accessibles séparément ci-dessous. Une version fusionnée des trois parties est accessible via ce lien.

    The scope of this document is to describe a method inspired from the guide "Omega 10 - Method for evaluating technical safety barriers (French) applied to human safety barriers and evaluate their performance. Both approaches thus present some similarities. Usng both of them allows to evaluate the whole architecture dedicated to safety of industrial plants. The report is the second version of the document and was based on the first Ω20 report dated December 2006.

    L'objectif du présent document est de proposer une démarche s’inspirant de celle développée dans le rapport oméga 10 (démarche d'évaluation des barrières techniques de sécurité) appliquée aux barrières humaines de sécurité et d'évaluer leur performances. Les deux démarches présentent ainsi des similitudes utiles sur un plan pédagogique et leur application conjointe permet d'évaluer l'ensemble de l'architecture dédiée à la sécurité sur des installations industrielles. Ce rapport est la seconde version du document et a été rédigé sur la base du premier rapport oméga 20 daté de décembre 2006.

    Les détecteurs de gaz, fixes ou portables, sont utilisés dans de nombreuses industries avec des activités variées : chimie, pétrochimie, chimie fine, entretien de réseaux souterrains, transport de gaz, travail en milieu confiné... Les détecteurs de gaz fixes sont les premiers éléments des systèmes instrumentés de sécurité dans plus de 70 % des sites industriels. Les détecteurs de gaz portables, quant à eux, remplissent seuls une fonction de sécurité (autonomes). Fixes ou portables, les détecteurs de gaz concourent à la maîtrise des risques industriels et à la protection des travailleurs, face aux risques d'inflammation / d'explosion, de toxicité ou de déficience en oxygène lors de la présence de gaz ou de vapeurs dangereux.
    Ce document a pour objectif de fournir des indications pour aider les utilisateurs à faire leur choix parmi les différents détecteurs (en termes de technologies) sur le marché, et à assurer la pérennité de leur performance (efficacité, temps de réponse et niveau de confiance), en fonction des contextes d'utilisation.

    Ce rapport présente les approches courantes d’estimation de la probabilité rencontrées dans l’évaluation des risques industriels ainsi que leurs limites. Les approches qualitatives, semi-quantitatives sont abordées et l’approche quantitative est développée. Les différentes sources de données susceptibles d’être employées sont également présentées au regard de l’expérience de l’INERIS dans ce domaine. L’utilisation des données génériques est possible pour des installations à faibles enjeux mais se révèle source d’incertitudes importantes. Ainsi, l’INERIS tend à valoriser la réalisation d’une analyse de risques spécifiques, prenant en compte le retour d’expérience des industriels et l’évaluation des performances des barrières de sécurité en place.

    Ce document, Ω 25, introduit les règles de calcul permettant d’agréger les données de fréquence / probabilité le long de la séquence accidentelle selon une méthode semi-quantitative, et ce afin d’estimer la classe de probabilité d’occurrence annuelle des accidents majeurs. Les approches semi-quantitatives sans historique (couramment utilisées dans les études de dangers) et avec historique (prenant en compte la suite d’événements menant à la porte étudiée) sont détaillées. Le traitement semi-quantitatif, bien que permettant de disposer de formules simples pour les différentes portes rencontrées dans le nœud papillon, peut conduire à une sous-estimation du risque et introduit des incertitudes qui ne doivent pas être négligées. Ce rapport démontre que l’approche avec historique est plus précise que les formules simplifiées de l’approche sans historique. Il précise également les domaines de validité des formules présentées.

    Ce guide de l’ingénierie des Facteurs Organisationnels et Humains (FOH) a pour objectif de proposer aux acteurs de la sécurité industrielle des repères pour une approche plus structurée des FOH dans l’industrie. Il permet de mieux se représenter le champ des FOH (premier volet du guide) et, grâce aux outils qu’il propose (second volet), aide à définir des modalités d’intégration des FOH dans la politique sécurité de l’entreprise. En particulier, il précise ce que l’on entend par démarche FOH, liste les démarches FOH les plus courantes, les cartographies de manière simple, et fournit des fiches descriptives (annexe A). Il présente également une matrice d’analyse des capacités d’ingénierie FOH permettant de dresser un bilan de l’activité FOH passée, et de structurer un plan d’action d’ingénierie pour l’avenir.

    Ce rapport présente une synthèse de l’état des connaissances sur le phénomène d’explosion confinée.
    Il constitue un complément du rapport Omega 32-UVCE (Les explosions non confinées de gaz et de vapeurs sur les explosions non confinées) sur les explosions non confinées, il est focalisé sur les explosions de gaz et de vapeurs. Les spécificités des explosions confinées de poussières et de mélanges hybrides y sont abordées de manière marginale.
    Ce document s’articule autour de 3 chapitres, dont les objectifs respectifs sont de présenter :

    • certains accidents ayant conduit à des dégâts considérables et d’en extraire des enseignements quant au déroulement d’une explosion confinée ;
    • l’ensemble des conditions nécessaires à l’occurrence d’une explosion confinée et les principaux paramètres influençant la propagation de la flamme et les effets de l’explosion sur son environnement ;
    • une synthèse des principales méthodes disponibles pour estimer les effets de surpression engendrés par une explosion confinée et leurs limites.